Microsoft Manette Xbox One S Blanche : Bluetooth, grip et mini-jack en plus
Entièrement noire sur la première itération de la console, la manette Xbox One se pare désormais d'une robe blanche avec quelques touches noires brillantes.
Une couleur en accord avec celle de la Xbox One S mais qui laissait craindre une surface plus salissante. Il n'en est rien. Le plastique granuleux utilisé limite l'apparition de traces et évite même de voir la poussière, bien plus visible sur un plastique noir. À moins de jouer avec des mains souvent sales, cette couleur blanche ne paraît donc pas plus salissante. Reste à voir si ce blanc conservera son éclat au fil des mois. La finition est en tout cas impeccable, sans vis apparente et avec des ajustements soignés. Le plastique utilisé semble de qualité et la manette assez robuste.
Hormis ce changement esthétique, on observe également l'apparition d'un nouveau revêtement sur l'arrière des poignées de la manette. Celui-ci n'est désormais plus lisse, il est texturé pour favoriser l'accroche des doigts et limiter la transpiration.
En termes de prise en main, pas de changement par rapport à la manette d'origine de la Xbox One, la forme de cette nouvelle version étant strictement identique. Le confort est donc au rendez-vous, avec des commandes qui tombent parfaitement sous les doigts. La manette reste relativement légère pour du sans-fil, avec 287 g piles incluses (2 AA/LR6/HR6 ; 235 g sans piles). Certes, c'est bien plus que les 213 g de la DualShock 4 de Sony qui, elle, fonctionne sur batterie, mais on reste dans le domaine du raisonnable.
Du côté des commandes, pas de changement au niveau des sticks analogiques, toujours aussi agréables à utiliser grâce à leur forme concave qui accueille bien les pouces et au matériau caoutchouté et texturé utilisé sur leur circonférence, assurant une bonne adhérence. Leur petite taille (16,5 mm de diamètre) impose plutôt de les utiliser du bout des pouces, mais assure une bonne maniabilité, même pour les petits doigts.
Les détracteurs de la croix directionnelle n'auront pas l'occasion de changer d'avis avec la manette Xbox One S, puisque ses 4 directions sont toujours marquées par un clic assez sonore qui, certes, ne plaira pas à tout le monde, mais qui a le mérite de provoquer des activations bien nettes, comme avec des boutons de souris. Ce fonctionnement rend en revanche l'utilisation de cette croix un peu moins agréable dans les jeux de combat, par exemple.
Les boutons A, B, X et Y, pour leur part, ne sont pas marqués par un tel clic, reposant sur des classiques membranes en caoutchouc. Leur taille de 10 mm est bien adaptée et leur course relativement réduite les rend assez réactifs, sans toutefois atteindre la vitesse des boutons Hyperesponse qu'utilise Razer dans ses manettes (Razer Wildcat, par exemple).
Petit changement au niveau des gâchettes, puisque les larges LB et RB sont désormais un peu moins larges, mais cliquables sur toute leur largeur. Les gâchettes analogiques LT et RT, de leur côté, sont toujours aussi convaincantes grâce à leur bonne souplesse et surtout leur moteur de vibrations intégré qui améliorent les sensations, en particulier dans les jeux de course.
Au chapitre des améliorations invisibles, la plus notable réside dans l'ajout du Bluetooth, permettant une connexion sans-fil à un PC sans recourir à un adaptateur radio. Bien que l'on ne puisse ainsi connecter qu'une manette à la fois, les joueurs PC apprécieront sans doute cette possibilité. La liaison radio reste bien entendu de la partie, utilisée notamment pour la connexion à la console.
N'oublions pas, pour finir, la prise mini-jack située sur la tranche inférieure de la manette, permettant de brancher un casque-micro sans recourir à l'adaptateur optionnel — se branchant initialement sur le port propriétaire situé juste à côté. Cet adaptateur reste compatible avec la manette Xbox One S si l'on souhaite profiter des touches supplémentaires qu'il apporte, notamment pour régler le volume plus facilement.
Une couleur en accord avec celle de la Xbox One S mais qui laissait craindre une surface plus salissante. Il n'en est rien. Le plastique granuleux utilisé limite l'apparition de traces et évite même de voir la poussière, bien plus visible sur un plastique noir. À moins de jouer avec des mains souvent sales, cette couleur blanche ne paraît donc pas plus salissante. Reste à voir si ce blanc conservera son éclat au fil des mois. La finition est en tout cas impeccable, sans vis apparente et avec des ajustements soignés. Le plastique utilisé semble de qualité et la manette assez robuste.
Hormis ce changement esthétique, on observe également l'apparition d'un nouveau revêtement sur l'arrière des poignées de la manette. Celui-ci n'est désormais plus lisse, il est texturé pour favoriser l'accroche des doigts et limiter la transpiration.
En termes de prise en main, pas de changement par rapport à la manette d'origine de la Xbox One, la forme de cette nouvelle version étant strictement identique. Le confort est donc au rendez-vous, avec des commandes qui tombent parfaitement sous les doigts. La manette reste relativement légère pour du sans-fil, avec 287 g piles incluses (2 AA/LR6/HR6 ; 235 g sans piles). Certes, c'est bien plus que les 213 g de la DualShock 4 de Sony qui, elle, fonctionne sur batterie, mais on reste dans le domaine du raisonnable.
Du côté des commandes, pas de changement au niveau des sticks analogiques, toujours aussi agréables à utiliser grâce à leur forme concave qui accueille bien les pouces et au matériau caoutchouté et texturé utilisé sur leur circonférence, assurant une bonne adhérence. Leur petite taille (16,5 mm de diamètre) impose plutôt de les utiliser du bout des pouces, mais assure une bonne maniabilité, même pour les petits doigts.
Les détracteurs de la croix directionnelle n'auront pas l'occasion de changer d'avis avec la manette Xbox One S, puisque ses 4 directions sont toujours marquées par un clic assez sonore qui, certes, ne plaira pas à tout le monde, mais qui a le mérite de provoquer des activations bien nettes, comme avec des boutons de souris. Ce fonctionnement rend en revanche l'utilisation de cette croix un peu moins agréable dans les jeux de combat, par exemple.
Les boutons A, B, X et Y, pour leur part, ne sont pas marqués par un tel clic, reposant sur des classiques membranes en caoutchouc. Leur taille de 10 mm est bien adaptée et leur course relativement réduite les rend assez réactifs, sans toutefois atteindre la vitesse des boutons Hyperesponse qu'utilise Razer dans ses manettes (Razer Wildcat, par exemple).
Petit changement au niveau des gâchettes, puisque les larges LB et RB sont désormais un peu moins larges, mais cliquables sur toute leur largeur. Les gâchettes analogiques LT et RT, de leur côté, sont toujours aussi convaincantes grâce à leur bonne souplesse et surtout leur moteur de vibrations intégré qui améliorent les sensations, en particulier dans les jeux de course.
Au chapitre des améliorations invisibles, la plus notable réside dans l'ajout du Bluetooth, permettant une connexion sans-fil à un PC sans recourir à un adaptateur radio. Bien que l'on ne puisse ainsi connecter qu'une manette à la fois, les joueurs PC apprécieront sans doute cette possibilité. La liaison radio reste bien entendu de la partie, utilisée notamment pour la connexion à la console.
N'oublions pas, pour finir, la prise mini-jack située sur la tranche inférieure de la manette, permettant de brancher un casque-micro sans recourir à l'adaptateur optionnel — se branchant initialement sur le port propriétaire situé juste à côté. Cet adaptateur reste compatible avec la manette Xbox One S si l'on souhaite profiter des touches supplémentaires qu'il apporte, notamment pour régler le volume plus facilement.
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